Le contrôleur Général Boubacar Kassé est une icône qui a marqué l’histoire de la police guinéenne. Son passé est un livre à la documentation riche et variée. C’est un illustre passé qui conforte l’esprit et apaise le cœur.
Sa vie est une longue page d’histoire qu’on ouvre à l’infini. La fatigue ne saurait exister dans l’esprit de celui qui contemple son célèbre passé. Son talent et son intelligence lui ont toujours porté au pinacle. L’homme a forgé sa personnalité pour s’imposer dans la cour des grands. C’est pourquoi, il est perçu comme une figure de proie dans la promotion des vertus du travail, de l’excellence et du vivre ensemble.
Ce grand homme est du bon côté de l’histoire. Les loyaux services rendus à la nation constituent un élément essentiel de démarcation vis-à vis des autres. Ces œuvres parlent plus fort que les mots. Ce sont nos œuvres qui justifient notre passage sur terre.
Le travail bien fait est le meilleur avocat de l’homme pour hier et sans doute pour toujours. Le contrôleur général s’est fait remarquer dans ce sens par le travail et l’engagement de tout donner à sa nation. En Guinée , comme ailleurs dans le monde, je dis rares sont les cadres qui ont travaillé au sein de police dont le bilan est positif. La police est un corps qui renferme des mystères qui demandent une grande capacité de discernement pour y voir clair. Dans ce cercle restreint, le contrôleur général Kassé sort du lot avec un passé auréolé de succès.
L’homme a fait presque tous les commissariats urbains et centraux de Conakry. L’expérience accumulée durant ce parcours fait de lui une véritable machine administrative en termes de compétences et d’expériences.
C’est un véritable policier et serviteur de la nation dans l’âme. Partout où il est passé, l’homme a posé des actes concrets pour le pays. Le contrôleur a fait preuve d’engagement et de loyauté à sa nation. J’ai tendance à dire souvent que le policier est toujours debout car il dort et se réveil avec le peuple. Sa capacité d’organisation et de compréhension défient toute forme de jalousie et de concurrence.
Être policier est un art et non un métier. Être policier c’est avoir les informations plus sensibles sans les divulguer. Être policier c’est être fidèle et loyal aux valeurs de la République.
Ce service est un travail noble qui exige le savoir et le savoir être afin d’apprécier correctement les différents phénomènes qui manifestent dans l’évolution de la République. Je dis sans risque de me tromper que le contrôleur général est le prototype de toutes ces valeurs. De par son travail et son engagement, l’homme est considéré aujourd’hui comme une clé de voûte dans l’art de trouver des solutions.
Le contrôleur général incarne le travail et le résultat. Je dis souvent que le mérite ne se décrète pas mais ça se mérite. L’ancien directeur de la sécurité publique est réputé pour intelligence, son ouverture d’esprit, son patriotisme, sa compétence, son expérience, son sens du devoir et son attachement aux valeurs fondatrices de la société.
Aujourd’hui, c’est évident de rappeler avec insistance que l’homme a sa place dans l’administration publique pour partager sa connaissance et son expérience. Une administration publique efficace a toujours besoin des personnes ressources truffées de compétences et d’expériences. Le contrôleur général peut toujours apporter ses nobles services comme il en fait par le passé. Son retour au sein de l’administration publique suscitera sans conteste un espoir pour les citoyens et une rassurance pour la hiérarchie.
Mathé Bah